Atelier Sant Johan Plou en Berry

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Sommaire -Introduction - Généralités

 "Atelier Sant Johan" : Article de René Johannot du 23 avril 2010.

 

 

 A

PPROCHE SOCIOLOGIQUE

                 

                  DE LA

 

  FRANCE MEDIEVALE

*

 

Sommaire

 

*

I)– Introduction et Généralité.

*

II) – Première partie

 « Le Haut Moyen Âge »

*

III) – Deuxième partie

 « Le Moyen Âge Triomphant »

Etat des lieux et observation de la période allant de 1180 à 1234

 *

IV) – Troisième partie

« Identification Sociologique de la France Médiévale »

De 1180 à 1234

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

Introduction

 

            Imaginer l'époque médiévale avec notre esprit d'homme du vingt et unième siècle, c'est trop souvent aborder un mode de vie d'antan que nous observons ou percevons, à partir de notre propre façon de vivre.

Dans ces documents d'archives et au travers les écrits de ce temps, les faits, les comportements et les agissements nous semblent assez souvent inadaptés à la perception que nous avons de la vie sociale.

Pourtant ces faits, ces comportements et ces agissements, résultaient, répondaient, et obéissaient à ce que les gens de l'époque moyenâgeuse considéraient comme leurs vérités et leurs valeurs sociétales.

 

            L'homme du Moyen Âge n'est pas très éloigné de celui d'aujourd'hui, dans sa physiologie et dans son mécanisme de pensée.

Considérer l'homme de notre époque supérieurement intelligent à l'homme médiéval est une grossière erreur car l'intelligence humaine n'a rien à voir avec l'ampleur des connaissances universelles acquises par un individu.

L'intelligence, la vraie, pas celle « de la  tête pleine », réside dans la finesse et la manière de se servir de ses « savoirs », « savoirs faire » et son « savoir être » afin de les mettre en oeuvre dans la conceptualisation et la réalisation d'un projet ou pour résoudre des problèmes.

Avoir une encyclopédie dans la tête, sans savoir utiliser ce potentiel emmagasiné pour résoudre une difficulté ou de répondre à une interrogation, ne sert à rien.

 

            Entre lui, homme d'hier, et nous hommes d'aujourd'hui, seule la nature des connaissances a changées, pas le mécanisme de leurs mises en œuvre. Pour lui, tout comme pour nous, la mise en œuvre des connaissances acquises, induit une même démarche intellectuelle. Elle peut être sommairement résumé comme suit : j'observe, je recherche, j'investis, j'analyse, j'agit.

Entre hier et aujourd'hui, seuls ont changé :

-    La nature des connaissances exigées par l'environnement.

La perception de l'environnement naturel (qui actuellement s'est estompé au profit l'environnement artificiel créé par l'homme, mécanisation, automatisation, industrialisation).

L'ampleur des connaissances intellectuelles (qui d'empiriques sont devenues exhaustives puis expansives).

 Les modes de communications (qui du messager à cheval et du pigeon voyageur sont passés au contact immédiats oraux, écrits et visuels).

 Le mode de vie, (qui inclut, ce jour,  les contraintes et les avantages dictés ou découlant de la productivité et de l'utilisation des nouvelles technologies vénérées par l'homme moderne).

 

            Les sentiments, le ressenti affectif et le processus d'apprentissage et d'éveil sont, eux aussi, assez identiques du moins sur le fond. Mais en ce qui concerne la forme, on ne peu que constater que les réactions  sentimentales et affectives, se font de nos jour très souvent à partir du ressenti  individuel découlant du seul intérêt de la personne et non plus, comme au Moyen Âge, à partir du ressenti individuel des intérêts familiaux ou communautaires.

 

            Comprendre l'habitant de la France des X e, XI e, XII e, XIII e, XIV e et XV e siècles, nous demande à nous hommes dits « des temps modernes », autant d'abstractions des réalités du monde occidental dans lequel nous vivons qu'il est nécessaire de le faire pour comprendre aujourd'hui, la vie de nos frères africains Bantous du Zimbabwe et de Mozambique, celle de nos frères asiatiques Kalmouks de la dépression caspienne  au sud de delta de la Volga ou celle encore, de nos frères Amérindiens du haut plateau Bolivien.

 

            La difficulté que nous avons à percevoir la réalité de la société médiévale est en grande partie due à notre éloignement  de son mode de vie.

Depuis le 18 e siècle où se sont accélérés les développements des sciences, des connaissances et des découvertes nous ouvrant à l'universalité du monde,  nous avons peu à peu, perdu notre implication innée et personnelle avec la matière, la nature et l'univers.

 

            Un sourire railleur nous vient aux lèvres quand, par exemple, on lit dans les écrits de ce temps, que l'homme du Moyen Âge trempait les pieds et les mains du nouveau né dans l'eau froide pour qu'il ne soit pas sensible au froid le durant de sa vie.

Mais ne croyez vous pas que l'homme médiéval, , n'aurait pas eu ce même sourire en nous voyant faire du sport pour que la dépense physique qui en résulte, puisse améliorer notre longévité ; alors que les durs travaux physiques quotidiens que lui imposaient sa survie, avaient  pour  conséquence de lui réduire la sienne.

 

            Depuis le second quart du XIX e siècle lorsque s'est développée l'industrialisation, et les années 2000, l'homme occidental a commencé à perdre, dans cet espace temps de 150 ans, ce qu'il avait mis 1,5 millions d'années à acquérir.

Ce qu'il a perdu et qu'il continu à perdre, c'est sa capacité de création et d'invention - à partir de la matière brute que lui donne son environnement naturel - de ce qui lui est utile pour vivre.

Pour réaliser ce qu'il imaginait, il ne disposait que de sa seul force physique et de la seule agilité de ses membres. Ses mains exprimaient alors son intelligence ; et quand elles seules ne suffisaient pas, il les dotait d'outils qu'il avait lui même fabriquer pour l'exécution des tâches à réaliser.

En fait, cette déperdition d'autonomie, face au monde dans lequel il vit, a commencé lorsque l'homme a substitué l'énergie se dégageant de son effort physique par celle provenant de la force d'une machine et « lorsque ses mains n'ont plus été le moyen de l'expression directe de sa pensée » (2).

 

            Dans cette affaire, l'homme y acquit une vie moins pénible, et de là, il a obtenu  plus de bien être qui lui a permis d'augmenter de façon significative sa longévité de vie.

N'étant plus tributaire de l'aide de la force physique des autres, il a pu accroître son indépendance. Cette suffisance lui a permis de construire son « individualité » au point qu'aujourd'hui cette individualité poussée à l'extrême, est devenu de « l'individualisme »,  quelque peu destructeur de cohérence sociale.

Le revers de la médaille c'est que cet individualisme a fait perdre à ce même homme sa sociabilité, son « savoir être » ; tout comme la facilité du travail mécanique lui a fait perdre bon nombre de « savoirs faire ».

Ces déperditions l'ont  alors fait abandonner une certaine solidarité vectrice de cohésion sociale, et l'ont détaché de la matière et de son environnement dont il est malgré tout, qu'il en soit conscient ou non,  toujours cruellement dépendant.

Si dans sa tête, il est capable d'imaginer des mécanismes complexes pour arriver à un produit fini,  il en est tout autrement de sa capacité individuelle à réaliser avec sa seule force vive ce même produit.

Force de constater, qu'en même temps qu'il a développé un intellect abstrait, il a inhibé son intelligence manuelle.

« L'intelligence humaine universelle, celle qui distingue l'homme des autres espèces animales dont il est issu, est faite de ce que la tête sait dire aux mains et de ce que les mains savent dire à la tête. C'est une entité globale dont on atrophie le potentiel chaque fois qu'on veut la spécialiser (3).   

 

            Alors, pour s'approcher au mieux du mode de vie médiévale et tenter d'en comprendre les raisonnements et les actions qui en découlent, il nous faut imaginer notre vie :

Sans énergie autre que celle de notre force physique, celle de l'animal, parfois celles de l'eau et du vent.

Sans autre chauffage et cuisson que ceux de la chaleur que dégage le bois qui brûle qu'on a coupé ou ramassé en forêt et transporté à la maison.

Sans autre lumière que celle produite par la flamme d'une chandelle, d'une lampe à huile ou d'une torche.

Sans autres nourritures que celles qui proviennent des produits que l'on cultive, que l'on élève, où qu'on cueille dans les haies les près et les forêts.

Sans autre eau que celle qu'on puise au puit ou dans la rivière.

Sans autres vêtements que ceux dont on file la fibre et dont on  tisse la toile,

Sans autres outils que ceux qu'on fabrique.

Sans autres aides que celles qui viennent de sa famille ou de sa communauté.

Sans autres médicaments que ceux que fournit sa connaissance de la nature.

Sans autre temps que celui  qui est déterminé par le jour et la nuit.

Sans autre heure que celle qu'indique la course du soleil.

Sans autre calendrier que celui que donnent les saisons.

Sans autre société que celle composée de trois classes inégalitaires où l'une, la plus pauvre, fait vivre les deux autres les plus riches.

Sans autre justice que celle qui est imposer par la loi du plus fort.

Sans autres cadres de penser et de morale que ceux imposer par l'Eglise de Rome.

Sans autre espoir de bonheur que celui dont on vous dit qu'il n'est pas de ce monde.

 

            La vie au Moyen Âge peut paraître rude et difficile, certes elle l'était !

Mais cette rudesse de vie n'est pas très éloignée de celle que vivent, de nos jours, au quotidien, certains hommes d'Afrique, d'Amérique du sud du centre de l'Asie et du sud de l'Australie.

            Si nous savons mesurer avec réalisme et lucidité l'écart qui sépare notre mode de vie d'homme occidental industrialisé à celui des hommes des pays dits non développés, alors nous pourrons mesurer avec justesse ce qui nous sépare de l'homme médiéval.

 

 

 

Généralités

 

            La période appelée « Moyen Âge » en France s'étend de la chute de l'Empire Romain d'Occident en 476, au mariage du roi Charles VIII avec la reine Anne de Bretagne en 1491(4). Entre ces deux dates s'écoulent un peu plus de1000 ans.

Ces 10 siècles considérés comme « médiévaux » commencent par la naissance du « Haut Moyen Âge » qui dure environ 400 ans, sous les dynasties Mérovingienne et Carolingiennes (du VI e siècle au X e siècle).

Suit, à partir de l'an 1000, et pendant 300 ans, la prédominance du « Moyen Âge Triomphant » sous la dynastie Capétienne (du XI e siècle au XIII e siècle).

Enfin pour finir, s'installe pour 300 ans le « Bas Moyen Âge » qui s'étend des années 1300 à la fin des années1400, sous la dynastie Capétienne puis en 1328 sous la dynastie de la branche Capétienne des Valois.  (du XIV e siècle à la fin du XV e siècle).

 

            Durant ces trois périodes médiévales, les mœurs et les modes de vie de la population ont bien sûr évoluées en fonction de circonstances politiques, sociales et économiques.

De l'homme vivant sous le règne de Clovis I, à l'homme vivant sous celui de Louis XII, de grands événements se sont produits tels que :

            - La naissance et l'affirmation de la chrétienté (5) dont découlent  les croisades pour la délivrance du tombeau du Christ à Jérusalem, et aussi le développement architectural des l'arts « roman »(6), « gothique »(7), puis « gothique flamboyant » (8).

                  - La deuxième vague d'invasions (9) a vu le déferlement de guerriers venus du sud « les Sarrasins » appelés aussi « Maures » (838), d'autres  venus du nord par la mer « les Vikings » qu'on appelle communément « les Normands » (850-911), et enfin d'autres encore venus de l'Est « les Hongrois » (x e siècle).

                  - La parturition et l'apogée du système sociétal féodal (10) - (11) (du début du XI e siècle, au milieu du XIV e siècle) dont la puissance seigneuriale s'illustre par l'édification de château fort de bois d'abord puis de pierre, ainsi que par le principe des hommages vassaliques, mais aussi par la misère des petites gens dans le statut de « serfs » puis « de vilains ».

            -L'entreprise des grands défrichements (12) (du XI e siècle au XII e siècle) qui augmentent significativement la surface des terres cultivables donnant le jour à la « Mance » et à « Alleu » pour les laïques, ainsi qu'à l'établissement d'Abbayes et de Prieurés pour les religieux

            - L'émergence des gros bourgs, villes et cités entourés d'enceintes fortifiées (13), (à partir du XII e siècle) lieux où se tiennent les foires et les marchés et où  naît une nouvelle classe sociale « la Bourgeoisie » constituée  d'administrateurs, de magistrats, d'artisans et de marchands dont la prospérité en font des notables.

            - Le remplacement progressif du parchemin et du vélin par le papier (14) dont la fabrication est connue dès le XII e siècle mais dont l'utilisation s'imposera durant les XIII et XIV e siècles.

            - La construction des « cathédrales » (15), du X e siècle au XIII e siècle, glorifiant Dieu et la puissance de l'Eglise Romaine qui donne aussi naissance au plus odieux système répressif religieux, « l'Inquisition ».

 

                        - La guerre dite « de cent ans » contre l'Anglais (16) ,de 1377 à 1453, qui entraîne de grands malheurs et de grandes privation surtout chez le petit peuple (révoltes populaires de 1323 – 1328 puis 1336 -1345, puis encore 1360 – 1362, enfin 1382), mais qui voit aussi  renaître l'espérance  par l'épopée de « Jehanne d'Arc » qui débute en mai 1228 et qui se termine avec sa mort sur le bûché de Rouen le 29 mai 1231

                        - Puis à la fin de la période du Bas Moyen Âge, en 1450, l'invention de l'imprimerie (17)

                        - Et enfin 1492 le début des grandes découvertes du monde. les Antilles par « Christophe Colomb » en 1492 ; suivi de l'Inde par Vasco de Gama en 1497 ; et de la cote Est du nouveau monde par « Amérigo Vespucci » dont le prénom inspira l'appellation de ce nouveau continent « Amérique » ; vont considérablement ouvrir les horizons des savoirs, de la pensée et des arts.

 

Tous ces événements ont amené les hommes du Moyen Âge, chacun dans leur classe sociale, au seuil d'une nouvelle époque que sera « la Renaissance ».

 

 

            Cet écrit va donc s'attacher à décrire les temps médiévaux, en France, dans leurs aspects organisationnels, (politique, sociétal et économique) à l'apogée de la féodalité (du XI e au XIV e siècle).

Plus précisément cette description va s'attacher à explorer la société médiévale à mi parcours des 1000 ans moyenâgeux, exactement à  l'époque qui est couverte par les règnes de Philippe II Auguste, Louis VIII le Lion, et Louis IX ou Saint Louis, soit de 1180 à 1234.

 

            Mais pour comprendre et appréhender l'organisation sociétale d'une époque précise, il est indispensable de connaître les événements du passé qui ont influé sur la réalité du présent qu'on veut mettre en lumière.

            C'est pourquoi la première partie de cet ouvrage d'exploration sociologique va s'attacher à regarder les événements qui se sont déroulés de la chute de l' « Empire Romain » à la chute de l' « Empire d'occident » en passant par les règnes des deux dynasties franques « Mérovingienne »  et « Carolingienne » du Haut Moyen Âge.

            La seconde partie examine, va constater et observer les résultantes territoriales et sociétales de ses événements passés et tenter, à partir d'elles, de décrire ce que pouvait être sociologiquement le France médiévale au milieu du Moyen Âge Triomphant soit entre 1180 et 1234.

            Enfin la troisième partie analysera et décrira la réalité sociologique observée en cette époque ainsi que ses rouages d'organisation et de fonctionnement, les conditions de vie des hommes médiévaux qui sont à seulement 23 générations en arrière, nos ancêtres directes.

 

 

 

A suivre : Lire la Première Partie « Le Haut Moyen Âge ».

 

 

 

 

Notes de références

 

(1)  Miniature : Miniature extraite des Chants royaux sur la Conception couronnée au puy de Rouen. (Bibliothèque nationale de France, Paris.). Elle  représentant le compositeur flamand Johannes Ockeghem dirigeant la maîtrise de  saint  Martin de Tours.

(2)  JOHANNOT. (R.). in  « LA REHABILITATION DU RELATIONNEL HUMAIN, une dimension fondamentale de l'action d'insertion socioprofessionnelle de l'exclu » Ouvrage de Psychosociologie des Hautes Etudes en Pratiques Sociales. Collège Coopératif de Paris. Université de Haute Bretagne. Rennes II et Paris. Université Pierre et Marie Curie Paris VII 1997.

 

(3)  JOHANNOT. (R.). in   « LA REHABILITATION DU RELATIONNEL HUMAIN, une dimension fondamentale de l'action d'insertion socioprofessionnelle de l'exclu », » Ouvrage de Psychosociologie des Hautes Etudes en Pratiques Sociales. Collège Coopératif de Paris. Université de Haute Bretagne. Rennes II et Paris. Université Pierre et Marie Curie Paris VII 1997.

 

(4) (Certains historiens préfèrent retenir, pour fixer le terme du Moyen Âge, la chute de Byzance ( Constantinople) en 1453 ; pour d'autres l'année 1492 qui voit le début des grandes découvertes ; pour d'autres encore, le début des guerres de religion 1562 )

 

(5) ALPHANDERY. P. DUPRONT. A. La Chrétienté et l'idée de croisade, Paris, 1954-1959, nouvel éditeur 1995.

 

(6) Art Roman : style architectural et d'expression artistique de l'Occident qui débute à la fin du Xe siècle pour finir à la seconde moitié du XIIe siècle.

 

(7) Art Gothique : style architectural et d'expression artistique de l'Occident qui se substitue à l'Art Roman. vers 1140, pour lui-même être remplacé dans les premières décennies du XVIe siècle.

 

(8) Art Gothique Flamboyant : style architectural et d'expression artistique de l'Occident qui sur plante l'Art Gothique à la fin du XIVe siècle.

 

(9) HAENENS. A. Les invasions normandes, une catastrophe ? Paris Editions Flammarion, Question d'histoire. 1970.

 

(10) ADALBERON. Evêque de Laon en 1220. Les Poèmes satiriques d'Adalbéron. Bibliothèque de la faculté des lettres de Paris. Traduction Boutruche, in Seigneurie et féodalité, 1901.

 

(11) MARY-LAFON. Privilèges et droits féodaux. in ROY J. J. E. HISTOIRE SINGULIERE DE LA CHEVALERIE. Paris. Edition Jean de Bonneau. 1994.

 

(12) SUGER. Abbé de Saint Denis (1081-1151) Vie du roi Louis le Gros, Mémoire sur mon administration abbatiale, Vie de Louis VII. Paris Editions H Champion 1929.

 

(13) Actes de Philippe Auguste Paris. Edition Delaborde 1916

 

(14) PEIGNOT. G. Parchemins et papiers. in ROY J. J. E. HISTOIRE SINGULIERE DE LA CHEVALERIE. Paris Edition Jean de Bonneau. 1994.

 

(15) SHÜTZ. B. L'ART DES GRANDES CATHEDRALES. Paris Edition Hazan. 2002.

 

(16) FROISSART. J. Historiens et chroniqueurs du Moyen Âge. Paris. Editions La Pléiade. 1963

 

(17) Bible de Gutenberg, Edition de la Bible Mazarine ou encore Bible à quarante-deux lignes, imprimée à Mayence, en Allemagne, entre 1450 et 1456.

Cette Bible est attribuée à Gutenberg ( 1400-1468), imprimeur allemand qui utilise pour la première fois des caractères mobiles métalliques.

 

 

Bibliographie

 

« Actes de Philippe Auguste » Paris. Edition Delaborde[1] 1916

 

ADALBERON. Evêque de Laon en 1220. « Les Poèmes satiriques d'Adalbéron ». Bibliothèque de la faculté des lettres de Paris. Traduction Boutruche, in Seigneurie et féodalité, 1901.

 

ALPHANDERY. P. DUPRONT. A. La Chrétienté et l'idée de croisade, Paris, 1954-1959, nouvel éditeur 1995.

 

FROISSART. J. Historiens et chroniqueurs du Moyen Âge. Paris. Editions La Pléiade. 1963

 

HAENENS. A. Les invasions normandes, une catastrophe ? Paris Editions Flammarion, Question d'histoire. 1970.

 

JOHANNOT. (R.). in  « LA REHABILITATION DU RELATIONNEL HUMAIN, une dimension fondamentale de l'action d'insertion socioprofessionnelle de l'exclu » Ouvrage de Psychosociologie des Hautes Etudes en Pratiques Sociales. Collège Coopératif de Paris. Université de Haute Bretagne. Rennes II et Paris. Université Pierre et Marie Curie Paris VII 1997.

 

MARY-LAFON. Privilèges et droits féodaux. in ROY J. J. E. HISTOIRE SINGULIERE DE LA CHEVALERIE. Paris. Edition Jean de Bonneau. 1994.

 

PEIGNOT. G. Parchemins et papiers. in ROY J. J. E. HISTOIRE SINGULIERE DE LA CHEVALERIE. Paris Edition Jean de Bonneau. 1994.

 

SHÜTZ. B. L'ART DES GRANDES CATHEDRALES. Paris Edition Hazan. 2002.

 

SUGER. Abbé de Saint Denis (1081-1151) Vie du roi Louis le Gros, Mémoire sur mon administration abbatiale, Vie de Louis VII. Paris Editions H Champion 1929.

 

 



 



23/04/2010
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