Atelier Sant Johan Plou en Berry

Atelier Sant Johan Plou en Berry

Les guerriers du roi Riothame fondateurs de Plou

 

 "Les Cahiers de Sant Johan" : Article écrit par René Johannot. le 4 avril 2010

 

 

Quelles furent les circonstances historiques qui amenèrent les guerriers bretons du roi « Riothame » à fonder le village de Plou en Berry.

 

 

Suite étayant les résultats de l'analyse toponymique du village de Plou en Berry.

 

 

 

 

En 425, là bas, dans « la Grande Ile de Bretagne » (Angleterre) le duc « Coel-hen »(1) venait de mourir.

Il y avait deux prétendants à sa succession,  un dénommé» « Vitalinus(2) appelé aussi « Vortigern » et un dénommé « Ambrosius Aurelianus » (3) ou « Ambroise Aurèle ».

Des deux, se fut « Vortigern » qui fut proclamé duc de « la Grande Ile de Bretagne ».

« Ambroise Aurèle » et son frère « Uther » suivis de quelques fidèles, furent bannis de leur pays et il durent se contraindre à vivre en exile en Gaule gallo romaine, à « Avaricum » (Bourges) dans le pays des « Bituriges Cubi », le « Biturienci » (le Berry).

 

En 456 , soit 31 ans plus tard, les agissements et les tristes alliances que « Vortigern »  avait contractées avec les « barbares » (4) faisait du roi de ces derniers « Hengist » (5) le maître de « la Grande Ile de Bretagne ».

Les nationalistes britton-romains ne reconnaissant plus « Vortigern » comme roi, proclamèrent alors « Vortimer » (6) premier fils de « Vortigern », roi de « la Grande Ile de Bretagne (Angleterre).

« Vortimer » remporta quelques succès militaires qui ne purent empêcher de se voir infliger la cinglante défaite de « Crayford », bataille où mourut le second fils de « Vortigern ».

Réfugié à Londres, « Vortimer » meure  empoisonné sur ordre de l'épouse de son propre père.

Ce qui restait des Nationalistes britton-romains  n'acceptèrent pas cette situation et firent appel à « Ambroise Aurèle » pour les aider à jeter les « barbares » de « Hengist » hors de la grande Ile de Bretagne et destituer « Vortigern ».

 

« Ambroise Aurèle », son frère « Uther » et quelques fidèles qui étaient en exile avec lui, partirent du « Biturienci » (Berry),  levèrent une armée en « Armorique » (Bretagne) et débarquèrent sur « la Grande Ile de Bretagne » à « Portus Adurni » (Portsmouth) où les attendaient ce qui restait des troupes nationalistes britto-romaines.

« Ambroise Aurèle » « fut alors proclamé par les nationalistes britton-romains, duc de « la Grande Ile de Bretagne » sous le nom de « Riothame » (7).

Le roi «Riothame » (nommé ainsi en devenant duc ou roi de « la Grande Ile de Bretagne » (Angleterre) et de « l'Armorique » (Bretagne)) s'empresse de nommer son frère « Uther » général en chef de toute la cavalerie de son armée sous le nom de « Uther Pendragon » (8) (9).

 

Le roi « Riothame » et son frère « Uther » à la tête de ses guerriers bretons d'Armorique et des forces nationalistes britto-romaines combattirent  pour reconquérir les territoires que l'inconséquence de « Vortigern » avait placés sous le contrôle de « Hengist » roi des « barbares ». Ils mirent en déroute les troupes de « Vortigern » et de « Hengist » et se rendirent maîtres de toute « la Grande Ile de Bretagne » (Angleterre).

« Vortigern » mourut dans l'incendie de la forteresse où il s'était réfugié avec son troisième fils « Catigern ».

« Catigern » fut épargné en contrepartie d'un serment d'allégeance au roi « Riothame »

Sous le règne du roi « Riothame » calme revint donc sur les territoires de la Grande Ile de Bretagne.

Fin 457, « Uther Pendragon » eut une relation adultère  avec « Ygerne »(10) épouse de « Gorlois de Tintagel » (11) et de cette relation lui naît un fils qui sera appelé « Arthur ».

 

En 469, l'Empereur romain d'occident qui s'appelait alors «Procopius Anthemius »,(12) fait appel au duc ou roi de « la Grande Ile de Bretagne » et « d'Armorique » « Riothame » afin de l'aider à contenir les « Wisigoths » (13) dont le roi « Euric » (14) voulaient s'approprier « l'Aquitaine première » donc le Berry, l'Auvergne et une partie de la Touraine.

Le roi « Riothame » qui connaissait bien le Berry pour y avoir vécu, accepta d'aider l'Empereur « Anthemius ». Il laissa la régence de son royaume de « la Grande Ile de Bretagne » (Angleterre) à son frère « Uther Pendragon », et s'embarqua pour l'Armorique (Bretagne) où il rassembla 12 000 Bretons avec lesquels il pris le chemin de « Bourg Dieu » (aujourd'hui Déols près de Châteauroux), en attente d'une jonction avec les troupes gallo romaines du comte « Paul » (15).

Suite à la trahison du préfet des gaules « Arvandus » (16) qui avait prévenu « Euric » le roi Wisigoth de ce rassemblement, les Wisigoths attaquèrent les bretons de Riothame à « Bourg Dieu », aujourd'hui « Déols » avant leur regroupement avec les troupes gallo romaines et remportèrent la victoire.

Ainsi, les « Wisigoths » deviennent maître de toute l' « Aquitaine première », sauf de l'Auvergne et du Velay.

 

La débandade à partir de « Déols » des guerriers rescapés de l'armée bretonne se fait un peu dans toutes les directions.

Le roi « Riothame » et une partie des survivants se dirigent vers l'Est  pour rejoindre la « Burgondie » (aujourd'hui la Bourgogne).

Une autre partie des défaits se dirige elle vers le nord ouest, en direction de leur patrie, l' «Armorique » (aujourd'hui la Bretagne).

Enfin un autre groupe décide de se fondre dans la populations locale sur les territoires situés entre « Déols » et « Avaricum » (Bourges) et au delà, afin de résister et mener une stratégie de guérillas.

Ainsi, bien que les « Wisigoths » soient victorieux, une partie de ces « rescapés Bretons » vont, sur place, mettre en œuvre une résistance telle que le « Biturienci » ( Berry ) ne sera jamais complètement soumis à l'autorité du vainqueur.

 

C'est ce dernier groupe de « rescapés Bretons » qui nous intéresse et qui sont à notre sens, à l'origine de notre « Plou » en « Champagne berrichonne ».

 

Avons nous la preuve de leur présence sur les territoires berrichons précités ?

La réponse à cette question fondamentale est Oui !

Non seulement nous avons la preuve de leur présence, mais nous avons aussi la preuve de leur installation et de leur intégration en « Biturienci » (Berry ).

 

Cette preuve se trouve dans une lettre de « Sidoine Apollinaire » (17) en date de 470 - donc un an après la défaite bretonne de « Déols » - qu'il adresse au roi « Riothame » qui se trouve à cette époque en « Burgondie » (il s'y est réfugié après sa défaite de Déols).

Dans cette lettre (18), « Sidoine Apollinaire » demande au roi « Riothame » d'intervenir de son autorité pour que les soldats bretons restés en Berry arrêtent d'inciter les esclaves des propriétaires gallo romains alors sous l'autorité wisigothe, à la désobéissance.

Pour confirmer cette preuve, dans l'œuvre anonyme moyenâgeuse du « roman de Lancelot du Lac » (15ème siècle), il est dit que les bretons ont continué la guerre contre l'occupant Wisigoth et qu'il était attesté de leur présence autour de « Charroc » (Chârost) et « Essoldung » (Issoudun) (19) (20)

Ils sont donc là ces « Bretons » et leurs descendants qui parle la langue Celtes insulaire brittonique, qui après la défaite de « Déols », sont certainement à l'origine du nom de « Plou » qui désignait hier uniquement la paroisse et les terres des alentours  et qui désigne aujourd'hui toute la commune berrichonne.

 

Mais comment se réalisa l'installation des rescapés bretons de l'armée du roi « Riothame » après leur défaite de « Déols » ?

 

Deux hypothèses apparaissent, celle d'une installation purement bretonne ou seuls les bretons entre eux fondent une communauté, ou celle d'une installation mixte ou les bretons vont s'intégrer à la population locale.

La première hypothèse ne paraît pas plausible même si bien sur, ces rescapés étaient en capacité d'établir une colonie purement bretonne. Car comme toutes les armées de ce temps là, l'armée bretonne était suivie par toute une population non combattante qui assurait l'intendance et le bien être des guerriers. Il y avait là, des femmes et des enfants, des prêtres, des marchands, des artisans forgerons, charrons, etc., mais aussi des détrousseurs de cadavres, des larrons et des truands. Bref tout ce qu'il faut pour fonder en « Berry » une colonie Bretonne.

Mais c'est la deuxième hypothèse, celle de l'intégration, qui semble correspondre à la réalité. En effet, il est presque certain que l'habitat humain primitif situé au lieu-dit « les Masures » sur « les terres de Plou » ait été fondé par l'homme du néolithique, puis qu'il ait pris la forme d'un village sous les migrations des Celtes Gaulois et enfin qu'il ait été peu à peu transformé par la romanisation de la Gaule après sa conquête par « César ».

Nos rescapés bretons en arrivant sur le lieu, y ont trouvé les habitants gallo romains et ont du faire avec.

Un deuxième argument renforce l'hypothèse d'une installation mixte intégrative, c'est le fait qu'après cette défaite de « Déols », les « rescapés bretons » cherchaient surtout à être discrets et à ne pas se faire repérer par les «Wisigoths » et ce n'est pas en se regroupant en un même lieu qu'ils se donnaient toutes des chances d'y parvenir.

 

C'est donc l'installation mixte par l'intégration qui a eu lieu entre les « rescapés bretons » de l'armée du roi « Riothame » et une « communauté gallo romaine » qui existait déjà sur « les terres de Plou », christianisée ou en voie de l'être.

Cette communauté pouvait avoir la forme d'un village ouvert que « César » appelle dans ses « commentaires de  la guerre des Gaules » en 51 av. J.C. « Vici » ou celle d'une ferme aristocratique gauloise que ce même « César » dans ce même ouvrage appelle « aedificia » qui deviendra sous l'occupation romaine la « Villa ».

 

On peut raisonnablement penser que « les Bretons » de l'armée défaite du roi « Riothame » se sont doucement intégrés dans le village ou la « villa gallo romaine primitive » situé au lieu-dit « les Masures » à partir de 470 créant ainsi « la paroisse de  Plou ».

 

Mais cette découverte des origine de la création de « la paroisse de Plou » en cache une autre aussi prodigieuse qui rattache notre « Plou » en Berry à l'épopée d'un roi britton-romain qui donna naissance à l'extraordinaire légende arthurienne.

 

Mais c'est là encore, une autre histoire !

 

Notes  et références

(1) Coel Hen (Coel le Vieux ou l'Ancien) : Mort vers 440 est un roi semi légendaire de l'île de Bretagne, avant l'invasion saxonne.

(2) Vortigern (en gallois moderne Gwrtheyrn) : Il fut un roi de l'île de Bretagne du Ve siècle après J.-C. il est souverain de toute l'île, vers 425 ou roi des Brittons-romains du Kent (le Cantium antique), vers 450.

(3)Ambrosius Aurelianus, Ambroise Aurèle en français moderne (Emrys Wledic en gallois moderne) : Il est un chef de guerre breton du Haut Moyen Âge qu'il a grandement contribué à la défense de l'île de Bretagne, ainsi qu'à de nombreux événements sur le continent lors de son repli stratégique en Armorique et dans le domaine gallo-romain.

 

(4) « barbares » : Ici le mot « barbares » désigne les peuples germains du nord des « Jutes » et des « Angles » qui sont riverains des rivages de la mer du Nord.

 

(5) Hengist (ou Hengest en vieil anglais) : Il est originaire du Jutland (Danemark) qui, selon la tradition, aurait mené leur peuple durant l'invasion de la (Grande-)Bretagne et fondé le premier royaume anglo-saxon sur l'île : le royaume de Kent, dans le sud-est de l'Angleterre. Ce roi sont considérés comme semi légendaires. En langue germanique, Hengest signifie étalon.

(6) Vortimer ou Mortimer (400? - 450?) était un roi de Grande-Bretagne du début du VIe siècle. Il est dépeint par Geoffroy de Monmouth dans son Historia regum Britanniae comme l'un des grands roi légendaires de Grande-Bretagne. Il était le fils aîné de Vortigern. Vers 44, il se serait soulevé contre son père et lui aurait usurpé brièvement son titre. Vortigern le tua et récupéra son trône.

(7)Riothame (Rigo-samos = Grand Roi= Chef suprême) connu aussi sous le nom d' « Ambroise Aurèle » avant qu'il soit proclamé duc ou roi de l'Ile de Bretagne (grande Bretagne) et de la Bretagne (Armorique). Il meure empoisonné vers 471.

 

(8) Uther : Il est le frère du roi Breton  « Riothame ». Il se voit confié la cavalerie de l'armée bretonne dont l'emblème est un dragon avec le titre de « Maître de la cavalerie » d'où lui vient son nom de « Uther Pendragon. Il succède au roi « Riothame » vers 471, et il meure lui aussi empoisonné vers 473 ; laissant un fils de 16 ans « Arthur ».

 

(9) le nom Uther Pendragon résulte d'une lecture erronée de Petr Penndrogn, « parfait chef de troupe »[]. La penn était la lance des cavaliers, et le draco était l'étendard ou oriflamme de la cavalerie du bas empire romain, d'où le nom de « dragons » pour désigner les cavaliers. Le Penndrogn serait donc le magister equitum, à savoir le général, ou commandant, de la cavalerie. Cette interprétation est étayée par le fait qu' Uther est présenté comme le frère du roi Riothame allias Ambroise Aurèle et le chef de ses armées. Dragon se dit d'ailleurs aerouant en breton, langue proche du gallois, et non dragon.

(10) « Ygerne » ou Igerne en ancien français (Igraine en Angleterre) : Elle est mariée au duc de Cornouailles, Goloët de Tintagel, dont elle a plusieurs enfants, parmi lesquels Élaine, Morgause (Morcades) et Morgane (Morgain). Délaissée par son mari, Uther Pendragon la séduire et passer une nuit avec elle. De cette nuit naquit un garçon qui s'appellera Arthur. Après le décès de son mari, Ygerne épousa Uther Pendragon.

(11) « Gorlois  de Tintagel », (aussi nommé Goloët ou Gorlais) : Duc de Cornouailles, il est l'époux d'Ygerne, la mère du roi Arthur. Il aurait été tué au cours d'une sortie du château de Dimiloc où il s'était réfugié, assiégé par les troupes d'Uther Pendragon.

(12) Procopius Anthemius (v. 420 - 11 juillet 472) : Il fut Empereur Romain d'Occident du 12 avril 467 au 11 juillet 472. C'est l'un des « empereurs d'ombre » du Ve siècle, il était certainement le dernier ayant les capacités nécessaires pour ce poste.

 

(13) « les Wisigoths » : Les wisigoths de cette époque sont loin d'être les « barbares » qu'on nous dépeint dans les livres d'histoire. Ces Wisigoths conduits par « Euric »sont des Goths christianisés par « Ulfilas » évêque Goth dans la doctrine chrétienne de l'Arianisme qui fut déclarée hérétique au concile de Nicée en 325 pour ne pas reconnaître le mystère de la trinité. Ces Wisigoths sont très bien intégrés dans les populations gallo-romaines du sud de la Gaule.

 

(14) Euric : roi Wisigoth de 466 à 484, il règne sur les territoires qui vont du sud de l'Espagne au sud de la Loire exceptés  le Limousin, la Touraine du sud, le Berry, le nord du Périgord, l'Auvergne et le Velay.

(15) Paul : dit le comte Paul (Paulus comes) était un officier militaire de la Gaule du Ve siècle. Beaucoup d'historiens ont pensé qu'il était un personnage important, peut-être le successeur d'Ægidius en Gaule du Nord avant Syagrius, ou bien le lieutenant de ce dernier sur la Loire  voire le nouveau magister militum de Gaule allié à Riothamus et Anthémius, notamment par le fait qu'il est dit être à la tête de Romains et de Francs et mener une lutte contre les Wisigoths, comme Ægidius.

(16) Arvandus : C'est un personnage de la Gaule du Ve siècle. Nommé Préfet du prétoire des Gaules en 464 par Libius Severus et Ricimer, il avait comme beaucoup d'autres avant lui déjà une position difficile entre les puissants royaumes barbares établis en Gaule et l'empire d'Occident réduit à l'Italie depuis la sécession d'Ægidius en 461.  En 468 fut révélée une lettre dans laquelle il conseillait à Euric roi des Wisigoths de rejeter le nouvel empereur Anthémius imposé par Constantinople et d'attaquer les Bretons de l'autre côté de la Loire. Accusé à Rome même par des notables gaulois (dont Tonantius Ferreolus), il dut à l'intervention de ses amis (Sidoine Apollinaire, par lequel on connaît l'affaire : Ep. I, 7, 1-13) de ne pas être condamné à mort mais seulement exilé.

(17) Sidoine Apollinaire : (430 à Lyon – 486 à Clermont Ferrand). Il fut d'abord homme politique gallo-romain. Il fut fait comte par l'Empereur « Majorien » en 457. En 468 il fut nommé préfet de Rome par l'Empereur « Anthémius ». Il devient évêque de Clermont Ferrand en 471. Il sera fait Saint par l'Eglise Catholique.

 

(18) Sidoine Apollinaire : Traduit par LOYER. (A.). : « Lettres ».Tome II, Livre III. 29, page 223 et Tome II, Livre III. 9, page 249.

 

(19) Manuscrits de la Bibliothèque Nationale N° 6770 – 6777 – 6784 – 7585 – 6786 – 6787 – 6963 – 7172 – 7173 – 7177 – 7184 – 7185.

Œuvre imprimée : Jehan Dupré : « Lancelot du Lac ». Paris 1488.  Bibliothèque Nationale. Paris.

 

(20) L. Cartier de Saint René : « Histoire de du duché-pairie de Chârost » Editions Alice Lyner. Issoudun 2009. 120 pages, p 31.

 

* Bibliographie :

 

de MONMOUTH. (Geoffroy.). : « Historia regum Britanniae », trad. Laurence Mathey-Maille, Les Belles lettres, coll. « La Roue à livres », Paris, 2004,

 

BRUCE. ( Christopher W.). : « Ambrosius Aurelianus » in The arthurian name dictionary. New York, Garland Publishing, Inc. 1999, p.19.

 

APOLINAIRE. (Sidoine.). : Traduit par LOYER. (A.). : « Lettres ».Tome II, Livre III. 29, page 223 et Tome II, Livre III. 9, page 249.

 

Manuscrits de la Bibliothèque Nationale N° 6770 – 6777 – 6784 – 7585 – 6786 – 6787 – 6963 – 7172 – 7173 – 7177 – 7184 – 7185.

Œuvre imprimée : Jehan Dupré : « Lancelot du Lac ». Paris 1488.  Bibliothèque Nationale. Paris.

 

De PALOL. (Pédro.) & RIPOLL. (Gisela.). : « Les Goths, Ostrogothset Wisigoths en occident au Ve et VIIIe siècle ». Edition Seuil. Paris 1990.

 

ROUCHE. (Micchel.). :  « L'Aquitaine des Wisigoths aux Arabes 418 _ 781. Naissance d'une région » Ecoles des Hautes Etudes en Sciences Sociales.Paris 1979. Editions Jean Touzot, Librérie ancienne et moderne. Paris 1885.

 

 

 



04/04/2010
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 13 autres membres