Atelier Sant Johan Plou en Berry

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Primelles village du Berry - page I

 "Atelier Sant Johan" : Article de René Johannot, octobre 2009.

 

HISTOIRE DE PRIMELLES

Village du Berry

*

Les terres de Primelles durant la préhistoire

 

Sans doute, les terres qui seront plus tard attachée à la paroisse de Primelles, ont vu s'installer, sur les lieux qu'elles recouvraient, le chasseur du néolithique dont les origines étaient métissées par des ancêtres étant venus d'Europe centrale et d'Europe du Nord, des Balkans et de la vallée du Danube.

Sa civilisation incluait la culture lithique de l'industrie Tardenoisienne, et la culture céramique de l'industrie de Cerny.

Cette présence néolithique est attestée par les ruines d'un menhir, qui se trouvaient dans la forêt de « Belais », dans une coupe appelée « le bois de la pierre qui danse » (1).

 

 

Les terres de Primelles pendant l'antiquité

 

Puis arrivèrent des hommes de race Indo-européenne d'ethnie celtique qui venaient d'Asie occidentale, qui se nommaient les « Galls ».

On trouve le témoignage de leur présence sur la rive gauche de l'Arnon, entre Saint Ambroix et Saugy  (Saugy s'appelait avant 1885, « Dames Saintes »), sur « les terres d'Arneuse », devenues aujourd'hui  « les terres de Renaize » (2)

Vers la première moitié du 7 e siècle av J.C., ces terres ont vu arriver une autre migration des Celtes, celle du peuple des « Kimris ».

 

Les terres de Primelles pendant la période gauloise

 

Les « Gallo Kimris » (3) vont êtres nommés  « Gaulois » et le territoire que forme la « Galatie », va peu à peu changer d'appellation pour devenir la « Gaule ». Les terres de Pimelles accueillirent les Gaulois « Bituriges Cubi.

Plusieurs sites environnants ces terres de Primelles, attestent que cette présence gauloise.

A « Civray » d'abord où a été trouvé sous la voie romaine (chaussée de César) un bracelet en fils de bronze plein de forme ovale, orné de stries transversales et obliques. Ce bracelet était passé dans un tibia. A « Saint Ambroix », ensuite, près de « Peluées » où une habitation souterraine gauloise fut découverte en 1882 par le docteur Pineau et où furent recueillis des fragments de poterie.

 

Les terres de Primelles pendant les périodes romaine et gallo romaine

 

La présence romaine, puis gallo romaine sur le territoire que forment ces terres est attestée par de nombreux vestiges dont la plus important et le plus riche, se situe au lieu appelé aujourd'hui « La Coudray ».

En 1866, le 17 avril, deux ouvriers de Primelles, Monsieur Chéverin et Monsieur Déchiron, qui travaillaient à extraire des pierres à la carrière de ce lieu, ont découvert, après un léger éboulement 2 jarres à anses ou amphores de 2,90 mètres de long, enterrées à une profondeur de 3 mètres. Puis huit jours plus tard ces deux mêmes ouvriers découvrirent encore 2 autres amphores du même type que les premières.

Sur ce lieu, d'autres découvertes furent faites notamment divers vases, gobelets, plateaux et poteries auxquels faut ajouter 2 agrafes de bronze finement travaillées. Tous ces objets ont été datés de la période romaine et gallo romaine.

 

 

 

 

 

Naissance de la paroisse de Primelles

 

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Il nous faut rechercher les origines de la paroisse de Primelles à l'époque gallo-romaine où, sur ce lieu aujourd'hui appelé Primelles, était implantée une « Villa romaine » puis sans doute gallo romaine nommée : « Villa de Primellis » (4).

La légende de Saint Firmin qui eut cours en ce lieu pendant très longtemps, semble nous indiquer que la christianisation de la « Villa de Primellis » par ce Saint, pourrait remonter vers 287 après J.C.

 

 

Saint Firmin, de son vrai nom Firmin, naquit à Pampelune en Navarre vers 256.

Fils du sénateur romain « Firmus » et de son épouse « Eugénie », il fut l'aîné d'une fratrie de trois enfants : Il y eut lui-même, son frère Fauste et sa sœur Eusébie.,

Encore enfant, Firmin rencontra  Honeste (futur saint Honeste) qui venait de Toulouse envoyé à Pampelune par Saturnin de Toulouse (futur saint Saturnin) pour prêcher l'Evangile.

Honeste sut convaincre les membres de la famille du sénateur Firmus de devenir chrétiens. Peu de temps après, Firmin fut baptisé et dès lors, il suivit assidûment  les enseignements d'Honeste.

Firmin fut ordonné prête à 24 ans à Toulouse, par Honorat (futur saint Honorat) successeur de Saturnin.

Honorat le chargea alors d'aller prêcher en Gaule romaine la parole chrétienne.

Il partit donc de Toulouse vers le nord  en direction du Beauvaisis en passant par l'Auvergne et le Berry.

Après avoir été martyrisé à Beauvais pour avoir converti bon nombre de païens, il s'en vint à Amiens dont il fut le premier évêque.

C'est en cette cité, et à cause des multiples conversions qu'il générera, qu'il fut de nouveau martyrisé  puis décapité le 25 septembre 287.

Il avait alors au alentour de 31 ans (5).

 

La légende

La légende nous dit que Saint Firmin serait venu en Biturienci (Berry)  vers 287.

L'histoire relève des traces de sa présence à Avaricum (Bourges) où il aurait fait apparaître une source dont l'eau qui y jaillissait avait de grandes vertus de guérison (6). Cette fontaine fut longtemps appelée « la fontaine saint Firmin » en souvenir de celui qui avait accompli ce miracle (7).

Suite à cet événement, Saint Firmin aurait converti tant de gens qu'il aurait provoqué le courroux des autorités romaines de la ville qui s'apprêtaient à le faire arrêter puis martyriser. Pour échapper à cette première persécution, il aurait dû s'enfuir d'Avaricum pour se cacher dans les campagnes

Ce fut dans sa fuite, qu'il aurait rencontré près de la Villa Primellis, le maître seigneur de Thou  qui l'aurait accueilli, hébergé et protégé.

A sa demande, il se serait retiré dans la forêt de Primellis où il aurait créé un ermitage à l'endroit où s'élevait encore en 1879 et toujours de nos jours, « la croix dite de Saint Firmin ».

Le danger passé, Saint Firmin serait parti vers le Beauvaisis. Mais il avait fait tant de bien durant son séjour en cette partie du Biturienci, que les habitants de Primellis pour en garder le souvenir aurait mis une statut représentant le Saint dans la petite chapelle de son ermitage et y seraient venus en pèlerinage.

Le temps passa ruinant cette chapelle au milieu des bois et la statue qu'elle abritait.

 

Mais il y a trois siècles et demi de cela (vers 1650), un bœuf perdu dans le bois où s'était ruinée la chapelle, se serait mis à mugir et à gratter du sabot la terre d'où serait peu à peu sorti la statue que l'on croyait détruite par l'usure du temps.

On aurait donc installé alors cette statue dans l'église de Primelles, puis on aurait refermé le trou creusé par le bœuf.

Le lendemain, le trou se serait ré ouvert de lui-même sans que nul vivant n'intervienne et il en aurait été ainsi à chaque tentative de comblement de l'excavation.

Cette nouvelle extraordinaire aurait attiré à Primelles bon nombre de pèlerins qui venaient  d'au moins 25 km à la ronde pour  guérir de leurs douleurs et emporter dans leur foyer un peu de cette terre miraculeuse.

Depuis ce temps,  le 25 septembre chaque année se serait tenue une assemblée au lieu dit « la Chaume ».

Plus tard, un crime ayant été commis en ce lieu, l'assemblée des pèlerins se transporta à Primelles.

En 1793, la statue de saint Firmin fut dérobée dans l'église, mais quelques années plus tard elle réapparut ornée de rubans, dans la forêt au pied de la croix de Saint Firmin.

 

Pourtant, Saint Firmin qui avait dû marquer profondément le lieu, comme nous venons de le voir, ne fut pas le patron de la paroisse de Primelles.

Saint Laurent, dont le martyre eut lieu en août 258 donc avant celui de Saint Firmin, lui fut préféré.

Mais ce choix n'est pas sans raison. Car, à Pampelune, c'est  l'église Saint Laurent qui abrite l'endroit exacte où serait né  Saint Firmin (8) ; tout comme à Primelles, c'est aussi dans l'église Saint Laurent qu'est abritée la statue du Saint.

 

Pour désigner la paroisse, le nom de « Primelles » apparaît également en 1212 puis plus régulièrement en 1230. Cette paroisse, nous le savons, avait pour patron Saint Laurent et elle possédait en plus de son église un prieuré dépendant de Notre Dame de Sales.

 

La paroisse de Primelles (De Primellis) faisait partie de l'archiprêtré de Châteauneuf sur Cher.

Elle était aussi étroitement liée à Notre Dames de Salles de Bourges.

Les abbayes de La Prée et de Saint Sulpice de Bourges y avaient aussi des biens

 

Le territoire de la paroisse de Primelles comprenait : 

o       Bois-Jaffier ;

o       les terres du Grand-Proux ;

o       les près et les tailles des Tires ; de la Luquette et de Champroy ; 

o       la métairie du Crézay le tout atteignait une superficie de 800 hectares ;

o        Thou ;

o        les bois et la métairie du vieux château de Thou ;

o       les métairies de Chaumeret ;

o       le village de Gouez aujourd'hui disparus.

o       le fief du le Grand Malleray ;

o        La Coudraie ;

o       et une partie de la seigneurie de L'Echalusse.

 

 

 

 

La seigneurie de Primelles

*

 

 

 

Primelles seigneurie indépendante vassale de la principauté d'Issoudun

de 950 à 1018.

 

Avant 1320, Primelles était une seigneurie indépendante relevant directement de la suzeraineté des princes et seigneurs d'Issoudun. Ce qui situe sa création vers 950 avec le gouvernement conjoint de Emenon et son fils Foulques, princes d'Issoudun. (9).

Nous trouvons ensuite comme suzerains directs de cette seigneurie de Primelles,  Ebrard du Four, fils de Foulques précité (1000 à 1012). Il fut suivi par son fils Eudes (10012 à 1018).

 

 

Primelles seigneurie indépendante vassale de la principauté de Déols

de 1018 à 1037

 

A partir de cette époque, la seigneurie de Primelles suivit celle d'Issoudun et passa à la maison de Déols sous la gouvernance d'Eudes l'Ancien (1018 à 1037).

Lorsque Eudes l'Ancien partagea la seigneurie de Déols entre ces deux fils, Raoul III le prudent eut Déols ; et Eudes le puîné eut Issoudun.

 

 

Primelles seigneurie indépendante, redevient vassale de la principauté d'Issoudun de 1037 à 1220.

 

Ainsi, en devenant seigneur d'Issoudun, Eudes devint naturellement seigneur de Primelles (1037 à 1085).

Puis suvirent :

-         Raoul I, fils d'Eudes précité (1085 à 1092) ;

-          Godefroy, frère de Raoul I précité (1092 à 1127) ;

-         Raoul II, fils de Godefroy précité (1127 à 1164) ;

-         Eudes II, fils de Raoul II précité (1164 à 1167) ;

-         Eudes III, fils de Eudes II précité (1167 à 1199) ;

-         Raoul III, fils de Eudes III précité (1199 à 1212) ;

-         Mahaud, sœur de Raoul III précité, épouse de Guillaume de Chauvigny, seigneur de Déols (1212 à 1220) (10).

-          

Mahaud d'Issoudun étant décédée sans enfants, sa succession issoldunoise passa à Etienne de Saint Palais et aux enfants du sir Renoul de Culan.

 

 

Primelles seigneurie indépendante vassale  directe du roi de France de 1220 à 1320.

 

En 1220, le roi de France Philippe Auguste, acheta à Paris, les droits issoldunois des héritiers de Saint Palais. Puis l'année suivante, en 1221 à Saint Germain en Laye, ce même roi en fit de même avec les droits issoldunois des héritiers de Culan.

En échange de ce rachat, le roi Philippe donna aux familles de Culan et de Saint Palais : la seigneurie de Châteauneuf sur Cher ; celle de Mareuil sur Arnon ; celle de Vatan et le château de Buxiel  auquel fut ajouté 1000 livres parisis (environ 38 580 € de 2006).

Ces biens compensatoires des possessions issoldunoises de ces deux familles, resteront  dans l'indivisibilité jusqu'en 1270. Cette indivisibilité s'établissait dans les proportions suivantes : deus tiers pour la maison de Culan ; un tiers pour la maison de Saint Palais.

 

La seigneurie de Primelles, de par sa vassalité à Issoudun, entra donc aussi dans le domaine royal et eut comme suzerain direct, la reine « Blanche de Castille » puis en 1240, son fils « Louis IX » (Saint Louis).

Le premier seigneur de Primelles connu est Girard de Prumellis, damoiseau (11). Il apparaît dans les actes de l'église de Notre Dame de Sales de Bourges en 1247 puis en 1266.

Il fut probablement investi dans sa fonction de seigneur de Primelles par le roi Louis IX, qui devint son suzerain

Malgré son annexion à la seigneurie de Mareuil en 1320, cette maison seigneuriale des Prumillis,  se maintiendra en possession de la seigneurie de Primelles jusqu'en 1347, où les actes de l'abbaye de La Prée atteste la présence d'un Perrin ou Pierre de Prumillis (12).  (lat. Perrinus de Prumellis) (Perrin ou Pierre de Primelles).

 

C'est en date du mercredi 30 avril 1270 que se fit le partage de l'indivisibilité des biens entre la famille de Culan et celle de Saint Palais. Cette indivisibilité comprenait alors les seigneuries de Mareuil, de Châteauneuf, de Vatan, Buxeil, de Beauvoir, Ineuil, Ceossey (13).

 

Pierre de Saint Palais reçut :

o       la seigneurie de Mareuil ;

o       la seigneurie le château et la tour de Vatan.

 

Renoul de Culan reçut :

o       la seigneurie de Châteauneuf ;

o       la seigneurie de Buxeil

o       la seigneurie d'Ineuil

o       le manoir de Beauvoir

 

En 1395, dans un acte des cures et fabriques, concernant la cure de Condé, il est attribué le titre de seigneur de la Motte Primelles à Guillaume Merlin qui porte son hommage à  Lignières (14).

Pourquoi l'hommage lige du fief de Primelles, fut-il rendu à Lignières?

A cette date, la seigneurie de Lignières appartenait à Philippe de Lignières dont l'épouse était Margueritte de Chauvigny

Ce nom de « La Motte Primelles » ne pouvait à cette époque que correspondre à l'endroit ou avait été élevé sur « motte » le premier château féodal.

Localiser ce lieu c'est donc aussi établir le siège d'origine de la seigneurie de Primelles.

 

D'après Buhot de Kersers, il y a de fortes probabilités pour de que la Motte-Turlin soit la Motte- Primelles et donc le lieu de genèse de la seigneurie de Primelles (15).

Car l'usage moyenâgeux voulait qu'il ne fût pas rare à cette époque, qu'un nom de lieu fût changé lors de la prise de pouvoir par une autre noble lignée seigneuriale.

Ce qui fut d'ailleurs le cas   pour la seigneurie de Primelles, lorsque plus tard, elle fut annexée à celle de Mareuil, et deviendra le fief de Primelles de la seigneurie de Mareuil.

 

Comme souvent, il faut distinguer  les territoires que recouvre la seigneurie de Primelles de ceux qui forment la paroisse de Primelles.

Ici, à quelques exceptions près, ce sont les mêmes, si on admet que la seigneurie de Primelles Vassale du prince d'Issoudun fut elle même suzeraine des fiefs des alentours

 

La seigneurie de Primelles au premiers temps de son établissement semblait comprendre :

 

-    le fief de La Motte-Turlin qui fut « domaine seigneurial », fut aussi le siège de la seigneurie. Il englobait :

o       les terres de la Lunerette

 

-         le fief de Bois-Jaffier qui englobait :

o       les terres du Grand-Proux ;

o       les près et les tailles des Tires ; de la Luquette et de Champroy ; 

o       la métairie du Crézay le tout atteignait une superficie de 800 hectares.

 

-         le fief de Thou, qui englobait :

o        les bois et la métairie du vieux château de Thou ;

o       les métairies de Chaumeret ;

o       le village de Gouez aujourd'hui disparus.

o        

-         le fief de La Croisette, qui englobait :

o        La Coudraie

o       Le Grand-Malleray

o        

-    Une partie du fief de L'Echalusse qui était de la mouvance de Châteauneuf sur Cher.

 

Pour ces cinq fiefs, nous ne connaissons pas les noms des seigneurs qui en étaient propriétaires avant 1320.

 

 

En 1320, la seigneurie de Primelles est jointe à celle de Mareuil et ce fut Pierre III, le fils « d'Alaiz ou Alaipdnis de Neuvy » Dame douairière de Saint Palais, Dame de Mareuil (16)  qui devint seigneur de Primelles.

 

Primelles perdit ainsi son statut de vassalique direct du roi de France et devint un fief vassal de la seigneurie de Mareuil.

 

 

 

 

Primelles dans la seigneurie de Mareuil, de 1320 à 1789.

 

La Motte-Turlin, appelée aussi La Motte-Primelles ou encore plus généralement le domaine seigneurial de Primelles,  devint un fief qui fit partie de la seigneurie  de Mareuil tout comme, à des dates différentes ceux de : Bois-Jaffier,  l'Echalusse  La Croisette Lunerette La Motte-Turlin, La Motte-Gallard Semelles Le Grand Malleray le Petit Malleray Dampierre, Saint Ambroix, Ségry Chézal-Benoit le prieuré de Semur, La Roize, Mesmin.

 

Une partie du fief de Primelles fut annexé au domaine réservé du seigneur de Mareuil, comme La métairie de Primelles qui avait une superficie de 9000 arpents. On y trouvait aussi des métairies de la Perrière, de Saint Domain, de Sermelles, du Parc de Challiou, Mazière, du Moulind'Orléans, de Mesmin de Massoeuvre de Houet, de Lunerette.

Etaient inclus également dans ce domaine seigneurial de Mareuil, Les forêts de Châtin, de Balais, des Gours, de Bois-Jaffier et l'Echalusse des Forges et leurs dépendances.

Enfin les étangs de la Duchesse, des Moulins, de Nohan, de la Croisette et de la vieille Forges faisaient partie de ce domaine seigneurial (17).

 

L'appartenance de Primelles à la seigneurie de Mareuil, plaça ce territoire dans la même suzeraineté que les autres fiefs jusqu'à lors possédés par lui, mais qui ne fuirent forcément inclus tout de suite dans la propriété de Mareuil.

Il nous semble donc intéressant de nouveau de les citer et d'essayer de retrouver, pour chacun d'entre eux, les maisons seigneuriales qui s'y sont succédées.

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25/04/2010
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